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dc.contributor.authorCHADLIA, Amel-
dc.contributor.authorDaddi Addoun, Nacer(encadreur)-
dc.date.accessioned2024-02-27T09:43:09Z-
dc.date.available2024-02-27T09:43:09Z-
dc.date.issued2007-06-01-
dc.identifier.otherm/t341-
dc.identifier.urihttp://dspace.esc-alger.dz:8080/xmlui/handle/123456789/1916-
dc.description.abstractL’étude de la performance des entreprises publiques a fait l’objet de plusieurs travaux de recherche, dont la plupart suggèrent la privatisation comme unique solution d’amélioration de leur performance puisque elles sont jugées peu compétitives. Plusieurs études ont remarqué qu’après la privatisation, les entreprises publiques privatisées enregistrent, par exemple, une augmentation des facteurs relatifs à la politique d’investissement Megginson et al. (1994), et Boubakri et Cosset (1988), et l’autonomie de l’entreprise ITCEQ repport (2010), d’autres auteurs ont constaté, également, une diminution des facteurs relatifs à la politique d’endettement tels P.Gaude et E.Jani (2002) et ST.Hidjazi et Y.Bentaraq (2006). Partant de cette optique, nous avons mené une analyse comparative sur un échantillon global de 271 entreprises observées pendant une période de 4 années réparties en trois groupes : 100 entreprises publiques, 100 entreprises privées et 71 entreprises privatisées. Notre étude confirme que les entreprises publiques algériennes sont peu performantes, et les résultats de comparaison entre les entreprises publiques et privées indiquent, globalement, que les entreprises privées algériennes réalisent un niveau de performance supérieur à celui des entreprises publiques. Les résultats de notre deuxième analyse comparative révèlent une supériorité des entreprises privatisées par rapport aux entreprises publiques, ce qui confirme que la privatisation contribue à l’augmentation de la performance des entreprises cédées. Notre étude démontre aussi, que d’autres facteurs (par exemple, l’investissement, la distribution de dividendes, le taux d’endettement…etc) ont un impact sur l’amélioration ou la détérioration de la performance des entreprises algériennes. Et nous avons également conclu dans notre travail que la forme de propriété des entreprises algériennes est le facteur capital des écarts de performance constatés entre les trois groupes d’entreprises étudiées.en_US
dc.language.isofren_US
dc.subjectpolitique de distributionen_US
dc.subjectgestion des risques dans les projetsen_US
dc.subjectentreprises publiques-performance-Algérieen_US
dc.titleManagement d'un projet d'investissement nécessitant la création d'un réseau de distributionen_US
dc.title.alternativeCas pratique: Sarl Kourty Informatiqueen_US
dc.typeThesisen_US
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