Résumé:
Dans le cadre de notre travail, on a essayé d’identifier puis de mener une réflexion poussée sur le système d’information existant, ces capacités, ces outils, ces composants et de clarifier les liens d’interdépendance entre sous-systèmes. Et enfin, et avec la collaboration des utilisateurs du système, on a essayé de mettre en place un système, qu’on a jugé optimal, conforme aux particularités de l’entreprise avec la présentation d’une procédure qui devra s’adapter au traitement des encaissements de l’entreprise.
Dans le cadre de notre travail, nous avons essayé de relever une préoccupation majeure ressentie en matière de fiabilité et d’exactitude des informations financières et comptables enregistrées avec d’énormes difficultés particulièrement celles provenant des agences commerciales d’Algérie Télécom.
D’importantes réserves sont relevées particulièrement en fin d’exercice par les commissaires aux comptes qui sont la résultante d’un manque d’attention et donc de prise en charge par les principaux responsables des impératifs de la tenue d’une comptabilisation des opérations financières qui ne devrait souffrir d’aucune lacune.
La comptabilisation au niveau de la Direction Générale n’est dans l’état actuelle qu’une forme de consolidation des données qui parviennent de diverses structures et plus particulièrement des ACTELS (Agences Commerciales des Télécommunications) qui couvrent près de 80% des créances de l’entreprise ; créances détenues sur des clients ordinaires, les grandes entreprises, l’état et les collectivités. Ces données ne sont contrôlées que par des rapprochements et des recoupements des informations, sans avoir prise sur les modes d’enregistrements et de contrôles aux niveaux où ces opérations sont initiées.
Dans ce sens, Algérie Télécom a mis à la disposition de ses agents un système d’information dont le but est d’améliorer le fonctionnement des procédures existantes et d’accentuer par conséquent sa réactivité et sa compétitivité.
Dans le cadre de notre travail de recherche, on va tout d’abord essayer d’identifier le système d’information existant, ses capacités et ces outils. En effet, dans son processus organisationnel, il existe d’énormes quantités d’informations. La masse ne fait pas la pertinence. La profusion ne crée pas de la valeur, mais une analyse de l’indispensable, de l’utile et du secondaire favorise un nouveau regard sur les pratiques des systèmes d’information dans cette entreprise.
Ensuite, on va mener une réflexion poussée sur ses performances et ses dysfonctionnements. Et enfin, et avec la collaboration des utilisateurs du système, on va essayer de mettre en place un système d’information qui devra améliorer le processus de l'entreprise.