Résumé:
La fiscalité est l'une des dépenses les plus importantes supportées par l'entreprise et l'un des revenus les plus importants de l'état, ce qui permet à ce dernier de surveiller périodiquement la comptabilité et la fiscalité d'entreprise afin de s'assurer qu'elles fournissent des déclarations correctes et correspondent à ce qu'elles contiennent. L'entreprise est passible de sanctions et de mesures correctives pouvant augmenter le fardeau fiscal, il est donc essentiel que l'entreprise en surveille ça fiscalité afin d'éviter les risques fiscaux susmentionnés et d'obtenir une bonne réputation auprès de l'administration fiscale. Cette auto-surveillance s'appelle un audit fiscal et peut être réalisée par un auditeur externe mandaté par l'institution ou par un auditeur interne travaillant tout au long du cycle comptable, mais de manière indépendante, comme pour tous les auditeurs internes.
L'audit fiscal ne vise pas seulement à éviter les pénalités et les mesures correctives, il peut également être considéré comme un outil de gestion fiscale, qui fait partie de la gestion générale de l'entreprise, car l'audit fiscal veille à ce que l'entreprise respecte ses obligations fiscales en matière de contrôle de l'utilisation optimale des lois et de la législation fiscale. L'utilisation de tous les privilèges et la sélection d'activités et de méthodes d'évaluation soumises à de faibles taux d'imposition ou bénéficiant d'exemptions font généralement l'objet de l'audit, afin de s'assurer que les dirigeants de l'institution ont adopté les méthodes les moins imposables en mesurant : leur performance fiscale, cela compte pour beaucoup de parties et particulièrement les actionnaires.
Les techniques fiscales ne sont pas très différentes des techniques de vérifications fiscales de l'administration fiscale, mais plutôt de la différence d'objectifs et de bénéficiaires du rapport final.