Résumé:
L’environnement bancaire et financier actuel est caractérisé par la diversification des produits et services destinés à répondre aux besoins aussi bien des entreprises que des particuliers, ce qui a rendu l’activité bancaire plus complexe et donc plus vulnérable aux différents risques la menaçant, notamment le risque opérationnel.
Le facteur humain peut être directement impliqué dans le risque opérationnel du fait de la fraude, de malveillance, et des problèmes liés à la gestion du personnel. Il est également lié indirectement du fait d’erreurs humaines, de manque de respect des procédures ou de la mauvaise saisie des données dans le système d’information.
Afin de s’aligner sur les bonnes pratiques internationales en la matière, les banques
Algériennes doivent intégrer le risque opérationnel dans le calcul de leurs fonds propres,
conformément au ratio de solvabilité MC DONOUGH de Bâle II.
Dans cette optique, nous nous sommes intéressés dans le présent mémoire, à la gestion des risques opérationnels bancaire liés à la GRH dont l’objectif ultime est d’arriver à réduire au maximum les pertes, assurer la solvabilité de la banque et maintenir l’image.