Résumé:
Dans l’histoire des courants de pensées de la théorie des organisations, l’école des relations humaines, parue dans la fin des années 1930, a semé les premiers germes d’un nouveau modèle de la conception de l’homme au travail. Un modèle bâti par Plusieurs théoriciens précurseurs, tel qu’Elton Mayo (1880-1949), Kurt Lewin (1890-1947), Douglas McGregor (1906-1964) et bien d’autres qui ont mis l’employé au cœur de leurs réflexions.
Au fil des années, la complexité et l’incertitude régnées l’environnement des organisations d’où la qualité a constitué la nécessité de toute organisation cherchant le progrès. Par-delà une nouvelle ère régnée, celle de management de la qualité.
Pour une organisation, la conception de management de la qualité, nécessite l’adhésion de son personnel à ses principes, à son système normatif et à ses objectifs, ce qui constitue un état psychologique de l’employé engendrant un attachement affectif, normatif et continu qui renvoie aux dimensions de l’implication organisationnelle.
Pour Thévenet l’employé impliqué est celui qui a choisi de l’être, de ce fait c’est à la direction de procurer les conditions adéquates d’implication du personnel dans son système de management de la qualité par des modes d’implication du personnel. L’ISO de sa part, a proposé un ensemble de facteurs d’implication du personnel inscrit dans le référentiel ISO 10018 :2012.
De ce fait il est utile de déterminer la dimension d’implication organisationnelle dominante dans la démarche qualité.
« La perfection est un chemin, et non une fin » (Dicton), l’amélioration d’un Système de Mangement de la Qualité se fond sur une logique de PDCA qui révèle la voie à la détermination du degré d’implication du personnel, l’interpréter et d’apporter les mesures nécessaires.
Pour conclure, le système de management de la qualité d’une organisation constitue l’appui d’un cycle d’amélioration continue et l’implication organisationnelle garantira sa pérennité.